[…] Nos infinies réserves de lâcheté veulent toujours croire que nous pourrions abandonner à quelque force autre que nous, à quelque leader le soin de nous sauver. Mais il n’y a plus rien. Nous allons devoir faire nos affaires nous-mêmes. Le vent se lève. Il faut tenter de vivre.
Julien Coupat, interview à l’Obs, 11 mai 2015
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Nos infinies réserves de lâcheté…
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