Et maintenant qu’est-ce qu’on casse ? La route !

Acte V des gilets jaunes, la nuit tombe sur la place de la République à Paris. Des manifestants se regroupent, bien décidés à faire de cette journée ce qu’elle devait être : une révolution. Un militant cagoulé s’accroche à la statue au centre de la place et s’exclame « qu’est-ce qu’on casse ? ». Une autre personne lui répond « la route ! », la surprise gagne le petit groupe rassemblé. Qu’il y avait-il pourtant de plus évident ? Ce militant avait pris acte du changement de l’économie. « Le pouvoir réside désormais dans les infrastructures de ce monde. Le pouvoir contemporain est de nature architecturale et impersonnelle et non représentative et personnelle » (A nos amis).

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